Ambiance festive sur notre passage.
A Castro, en Espagne, on fêtait le bicentenaire de la victoire sur la grande armée.
A Bayonne, c'était la fête du printemps.
A St-Jean de Luz, bondée de touristes, c'était la fête aux commerçants.
Ambiance festive sur notre passage.
A Castro, en Espagne, on fêtait le bicentenaire de la victoire sur la grande armée.
A Bayonne, c'était la fête du printemps.
A St-Jean de Luz, bondée de touristes, c'était la fête aux commerçants.
Toujours d'aussi beaux paysages, en poursuivant notre parcours dans les Asturies, puis en Cantabrie.
La côte rappelle la Bretagne et la Normandie. Les montagnes, et en particulier, le parc de "Los Picos de Europa" mérite vraiment le voyage.
Les greniers à grains sont différents, mais toujours aussi pittoresques.
Traversée de la Galice, afin d'atteindre notre prochain point de chute.
La région s'avère être, également, particulièrement jolie : une côte escarpée, de belles maisons de granit, et des forêts d'eucalyptus à perte de vue.
La plupart des vielles maisons ont conservé leur grenier à grains sur pilotis, les "horreos", qui protègent leurs contenus des rongeurs.
Retour sur terre, non pas d'un point de vue spirituel, mais d'un point de vue climatique : de la pluie et pas plus de 12º.
Malgré cela, la vieille ville est magnifique, et mériterait presque, à elle seule, tous les efforts des pèlerins pour l'atteindre.
La ville de Porto est très différente de Lisbonne, mais ne manque vraiment pas d'attraits. Ses quais sont, par exemple, très typiques. L'usage du granit pour la construction des bâtiments donne une couleur différente à la ville.
On regrettera simplement le temps, particulièrement pluvieux.
Tom avait des envies d'aventure...culinaires.
Il a d'abord essayé la brandade de morue...très bonne, alors on continue.
Il a ensuite testé la bouillabaisse "portugaise"...bizarre, mais bonne, alors on continue.
Puis, aujourd'hui, le ragoût "portugais". Les premières couches sont constituées d'abats. Ça va encore. Puis, il tombe sur un truc bizarre, qui se révèle être des oreilles de porc !!!
C'est là que nous avons perdu Tom.
Ce soir, ce sera pizza ou pâtes.
Au premier abord, ce qui surprend surtout, c'est une grande pauvreté pour une ville européenne. Nous n'avons rien vu de comparable en Espagne. Et pour tout dire, il y a aussi la saleté...
Puis, en marchant, dans les ruelles qui montent et qui descendent, on se rend compte que la situation est plus complexe. C'est vraiment une ville charmante, et les portugais sont très accueillants.
Sur l'une des photos, du colin grillé. Et, sur une autre la tour de Belem le soir.
Photo prise sur la route vers Lisbonne. Tous les sommets de poteaux électriques (ou presque) sont habités. C'est très sympa, mais je crains que ce soit un peu compliqué à gérer. ..
D'abord Cordoue, qui nous a semblé mieux résister au rush touristique (vues de la Mezquita et des jardins de l'Alcazar).
Puis Séville, la grande ville Andalouse : animée, mais beaucoup plus respirable malgré des températures très élevées (plus de 30 degrés debut mai).
Dans ce post, une curiosité. Nous avons remarqué de nombreux canedas accrochés aux barrières d'un pont de Séville (accompagnés d'annotations). Mon hypothèse est que des amoureux se promettent un amour éternel, puis pour sceller les voeux, jettent la clé de le Guadalquivir.
Nous sommes arrivés dans une ville en fête, où la religion rime avec musique, convivialité, , mais également, excès en tous genres.
Difficile de faire plus au Sud sur la péninsule Ibérique. L'étape du jour, bien que très longue, n'est finalement pas sans intérêt. Le contraste entre les plaines verdoyantes de Catalogne et les paysages arides et secs d'Andalousie est saisissant.
Encore un parcours assez long en Catalogne pour rejoindre la côte méditerranéenne.
Autant l'intérieur des terres est authentique, avec des villages perchés sur les collines, et des ruines de châteaux médiévaux. Par contre, la côte est bétonnée sans ordre ni raison. Pour ma part, à fuir d'urgence !!! Et dans le genre, Peniscola est un bien triste exemple.
Sur l'une des photos, le Monestir de Poblet.
Nous sommes arrivés à notre étape entre Espagne et France. Étape très laborieuses en raison d'un tunnel fermé.
A titre d'illustration, un photo prise depuis l'une des trois tours du château de Foix.
Et, en option, une vue nocturne d'Ordino (Andorre).